di Gianluca Virgilio
Aujourd’hui ce sont des criailleries
sur cette lointaine saison
ce sont des mots insensés
et déplacés.
Lui n’a vécu que pour ce moment.
Mais tourner la tête il le faut
et pleurer à nouveau
pour tout ce qui s’est produit.
Oublier ? Jamais !
Nous vivons suspendus au passé,
sans parure, seuls.
[Traduzione dall’italiano di Annie Gamet]